Des mondes qui se dévoilent, qui viennent d’être enfantés, des mondes de fées et de sorcières maléfiques qui se dévergondent ; des univers parallèles mais tout aussi maléfiques qui se diluent et qui diluent les nuits profanes. Des magiciens d’Oz qui dilapident leur fortune et qui les tutoient lorsque les années passent pour refaire d’autres mondes en prose ; des mondes qui s’inspirent des grands jours, à rêver de carnaval et d’aurores boréales.
Des Dents de Dragons qui s’émerveillent d’une idée disparue ; un monde qui balaye les futilités occidentales et des lettres romaines ou grecques qui ciblent la génération Z afin de la sublimer…
D’autres générations qui se perdent en chaotiques pensées, et je rêve de sentiments indicibles qui ne contiennent qu’un élément extravagant afin de les unir et les lier entre eux par un carcan de bois ; et sur les pontons, des écrivains qui font l’expérience de ce qu’ils cherchent à écrire pour tenter d’approcher une forme de vérité. Essentiellement christianisées, des contrées pour prédire leur descente vertigineuse. Et des vies qui se débrouillent pour atterrir au milieu des derniers vestiges des cités mystérieuses, tant d’animaux qui s’écroulent de fatigue à leurs suites. Un décor qui décalotte les longues pattes de l’araignée n’évoluant que dans le ciel ; un ciel qui craquèle sous le poids des poupées momifiés.
Des nuits qui se défoulent sous un néon improbable, des mains qui pelotent des robes de grès noir, appréciées lors des veillées d’armes ; une puissance extraterrestre, surnaturelle qui nous persuade de nous placer délibérément dans des situations périlleuses, grotesques ou humiliantes par pure conscience professionnelle.

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