La nouvelle théologie du feu sacré !

En ce début de nouvelle année, j’étais fatigué des films cinématographiques. Les Frères Lumière avaient vraiment inventé quelque chose de désastreux. En ce début de nouvelle année aussi, il n’y avait vraiment rien à se mettre sous la dent au cinéma : pas de filles chaudes et dénudées, pas vraiment de sexe, rien qu’un bourdonnement stérile et une succession d’images noircies. En plus je détestais prendre le bus qui projetait une boue glaciale sur les piétons mais mon boulot l’exigeait : donc le bus m’emmenait vers la Cité Internationale (un multiplexe lyonnais) et cette nouvelle année était comme une image éclatante et en tout point semblable à l’ancienne 2016.
Pourtant il y avait quelque chose qui me bottait bien dans les salles de projection : une sorte de correspondance attachante s’était installée entre moi et l’obscurité. Désormais je savais ce que je voulais : ne plus jamais voir la lumière du jour.

####
Un homme et une femme collante, pendus têtes-bêches à l’entrée de la demeure de Satan, perdus parmi des tourbillons de neige et des explosions de cris joyeux qui viennent de nul part. L’homme n’en peut plus mais, pour que la Théologie du Feu perce au-dessus de la surface, il faut ranimer la braise que cette femme vomit à grands flots ; pour que la Théologie du Feu perce au-dessus de la surface, il faut aussi qu’elle branle l’homme vigoureusement pour qu’il puisse éjaculer d’autres combustibles : c’est une allégorie. Peut-être.
En tout cas, en dressant malgré tout son sexe raide, l’homme comme pour se défaire d’une sangsue, essaie inlassablement de s’en débarrasser et ainsi en lui jetant son sperme à la gueule comme si c’était une vulgaire salope, fait malgré lui grandir le Feu ; c’est le plus parfait des Théologiens du Feu. Même dans leur partie la plus inférieure où des fouilles archéologiques ont lieu en ce moment, les limbes infernales, qui ont conçu sur plusieurs niveaux ce multiplexe, brûlent sans jamais manquer de combustibles : tout est organisé autour du Feu.

###
Une femme décroche le combiné du téléphone et une putain de moiteur s’en échappe et liquéfie son environnement. Un homme, dans la salle de projection d’un cinéma, surveille l’écran où se prépare déjà la suite d’un film qui n’a jamais existé.
Aujourd’hui, malgré leur épiphyse qui s’enraye, ils se sont levé de leur lit avec majesté, en listant ce qu’ils devaient faire… C’est de l’eau apportée au moulin de leur vie. Mais le mal s’empire, les efforts à fournir pour se lever de bon matin s’adressent à un athlète de haut niveau selon eux ; le Mal incise les pneus de leur bagnole alors qu’ils veulent se rendre à leur travail, le Mal a même réussi à exhaler une odeur d’animal crevé à la place des arômes du café matinal. Enfin le Mal énervé de les voir encore au labeur entame un plain-chant lugubre qui défie tous ces paysages pâles, décrits par Lautréamont lui-même.
Le mal s’immisce même dans le climat en déclenchant des calamités glaciales mais ils continuent, certes lentement, en s’attachant le soir à trouver un sens à leur action insensée.
Maintenant, dans la salle, on entend seulement le pop-corn qui tombe en pagaille sur la moquette qu’il faudra aspirer comme tous les jours. L’homme sombre dans un délire mélancolique, emporte avec lui le sens de son existence ; une existence qui est comme une sorte de hoquet de peur face à deux mâles qui envisagent de lui faire une surprise de retour chez lui : ils sont allongés en ce moment même dans le lit de sa femme, grattant d’impatience les draps amidonnés.

####

Une formidable source d’inspiration s’étalait en flaque marron sur le carrelage de la salle de bain : l’eau avait pris la teinture de ce mystérieux carnet tombé par terre alors que je le tenais avant entre mes mains dans mon bain ; et pour suivre, tout en lorgnant la spirale du siphon de ma baignoire, mes pensées à propos des étoiles montantes du cinéma, j’avais perdu la mémoire et perdu tout, tout court : ma femme, la confiance de mes proches, ma sobriété etcétéra ; tout ce que j’avais perdu était lié en quelque sorte à ce personnage que j’avais vu dans un film récemment : le visage balafré augurant qu’il était crapuleux mais sans l’âme des naufrageurs (vous savez ces étudiants fondamentalistes qui ne pouvaient rêver que de dieux les invitant dans la très grande baignoire de marbre blanc pour un sauna paradisiaque ; sauna que j’ai fait construire suite à une arrivée incroyable de Napoléons sonnants et trébuchants…)

Il n’y avait que des erreurs dans ce carnet censé décrire ce que la salle obscure du cinéma ce jour là avait projeté. Des cadavres. À un moment, il n’y avait plus que ce passage sur les crimes par le feu que j’avais commis un jour de Saint Con.

Comme un dérapage ou une maladresse déferlant sur la crête obscure de la théologie incendiaire. Et pourtant tant d’erreurs auraient pu être évité, à commencer par ce moment où je me suis immiscé dans le système d’aération. Après le bûcher.

Après le bûcher comme une vision claire que les nouveaux inquisiteurs m’ont peut-être bel et bien inspiré. Des artisans de la fiction en phase terminale, en fin de compte.

Sélectionnant dans sa mémoire de rescapés (presque apparentés à ceux du Bataclan) sans que je puisse effacer tout ça, l’unique survivant avait dit avant de sombrer dans un rêve macabre que seuls les frères Lumière auraient pu empêcher tout ça alors comment faire machine arrière ?

Une impression de déjà-vu

Pourquoi les poètes inconnus restent inconnus ? Bien sûr j’avais en tête cette question, cette question qu’un point de vue d’écrivains tendancieux avait malgré tout réussi à dissiper. Et la nuit avançait et je me souvenais de mon amitié avec Richard Brautigan ; Richard Brautigan qui forgeait par la force des étoiles noires d’autres univers… permettant en cette époque troublée la réhabilitation des réseaux sociaux !

J’avais peut-être vécu une sorte de science fiction, avachi dans mon canapé, obsédé par une grave dépression et cette tenace envie d’écrire leur noirceur, car ils étaient tombés sur un os, ces réseaux sociaux, et je les avais déjà tous désinstallé, comme une impression de déjà-vu ; cette impression de déjà-vu colportée par des oiseaux de malheur que Richard Brautigan avait descendu sans aucun commentaire, décidément dans le ciel il n’y avait que des étoiles noires !

Ne décroche pas le téléphone !

Nos vies antérieures, comme le parti pris des choses de Francis Ponge, avaient crapahuté le long de l’échine de ce ciel qui était noir. Noir comme le saccage de ses sensations saccadées, mais il me semblait qu’on pouvait quand même distinguer, Là Haut, des calligraphies à l’encre chancelante ; j’avais fumé l’herbe du diable et d’autres vies antérieures m’invitaient à décrire des paysages américains selon le modèle de ce bizarre dessin de crapauds humanoïdes que j’avais trouvé dans une bibliothèque, un jour de pluie.
Ce dessin était accompagné d’un texte assez court décrivant leur transformation robotique, car ils venaient du Futur, ces êtres difformes et ils avaient cramé – un brasier sacré – la fin de leur histoire. Et le lait de leurs seins atrophiés permettait d’alimenter toute une taupinière !
Des faisceaux crépusculaires en altéraient la sagacité mais le ciel prenait le relai et l’allaitait à son tour ; j’ai alors pensé qu’ils s’accordaient malgré tout assez bien : une sorte de symbiose malfaisante qui vous saignait en pus noirâtre les oreilles quand vous décrochiez le téléphone !

L’ivresse de la noirceur

J’avais écrit un poème, après un café bien frappé, que j’ai aussitôt déchiré, comme un appel pacifiste à tous les rêveurs… Trop macabre, pas assez fun pour les réseaux sociaux, mais l’incarnation de ce poème m’a, pour ainsi dire, semé dans sa course ; une course à l’allure fulgurante à travers le dédale des villes les plus complexes.  

Leur complexité sombre et austère, s’inspirant du retour des macchabées sous des astres convoqués uniquement pour leurs retrouvailles à Port-Saïd, ne me bottait pas plus que ça. 

Alors j’ai bu un pastis et leurs terres nourricières à tous ces rêveurs ont vu errer de fantomatiques, de tristes vagabonds parlant exclusivement en sanskrit, ah ces rêveurs, dont la mentalité était incarnée par ces étoiles en virée, pouvaient bien pioncer tout m’était égale ! 

Se rejoignant sensiblement sur le sujet, il n’y avait plus que les étoiles, les rêveurs, les astres et leur cornée dépoussiérée, les rêveurs encore et toujours ces étoiles qui, dans un maillage jouant serré, paraissaient toujours aussi noires !

La sagacité des quatre-quarts !

De la salive et des langues amères pour se fiancer avec la verve des soudures alpines, et aussitôt la rechute ! La rechute alors qu’elle détenait de vigilantes cartes mères qui ronronnaient et qui allaient la vilipender, la sagacité des quatre-quarts qu’on croyait de mauvaises résolutions. La vilipender comme ces araignées solaires s’échouant sur le récif ce matin car c’était un matin macabre, en noir sidéral ou en or rose et parce qu’elle recevait pour ses noces de papillon, cette sagacité des quatre-quarts, on l’avait offert au plus offrant…
Avec cette nonchalance propre à rien et quand les vents soufflaient sur les phylactères qu’elle créait à mesure qu’elle les avait fait disparaître, la sagacité des quatre-quarts macérait dans un mélange où les araignées étaient mal soudées l’une à l’autre, mais pourvues de mille-huit-cent-neuf membres… se palpant pour envahir en imagination les salons où l’on ne parlait que de sa rechute, se courbant sous le poids des phylactères et arrachant de leurs forces herculéennes ses vignettes qu’elle avait pris soin de récolter dans les encyclopédies (prenant la poussière dans ces cartons que j’entassais en attendant de trouver mieux, peut-être le lieu et la formule de l’un de ces sanctuaires grouillants de gnomes et à qui je devais ce poème, la sagacité des quatre-quarts ne m’estimant pas beaucoup.)

Qui sommes-nous ?

Quelques frasques de notre jeunesse pour simplifier définitivement nos genèses. Puis, dans la cage des donneurs de leçons, on verra bien si les échanges et les communications par SMS interfèrent sur le défunt pouvoir de notre imagination.
Il y a aussi, comme nous sommes encore à l’intérieur du placenta, les classiques de nos débuts fredonnés en changeant toujours de latitudes ; latitudes projetées avec nostalgie qui désobéissent cette fois aux jeteurs de gommes à mâcher et ça en devient presque drôle !

Ainsi nous pourrons nous définir comme des stratosphères énervantes ou comme la somme des révoltes pragmatiques ; mais réellement qui peut encore se consoler de cette définition, à part la liesse en folie de ces autres stratosphères ? Elles ne sont pas comme nous, pourtant elles ont aussi été étayées de peinture fraîche, de sens perdus et de retrouvailles impossibles…

Et la fraiseuse nous invite à percer davantage nos quelques frasques amicales, l’été de la mort de Lady Diana. Qui sommes-nous ? Quel est le but de notre existence ? Nous n’avons qu’une drôle de photographie en noir et blanc censée nous avertir des épreuves de la vie, cette vie dont nous nous moquons qu’en meute.

La place affligeante que nous accordons à nos aventures lubriques se résume à une narration assez simple : une histoire que les rois et les reines accordent aux vingt-quatre notes flûtées provenant de leur placard ; et sur la partition elles plaident en notre faveur car, des poutres que le créateur a fait don par hara-kiri, perlent les appas de nos ruisseaux !

Le Monde Silencieux des hauts plateaux de l’Éthiopie

Sur https://notesmat15.com un nouveau récit poétique

Réprouvées les cinq consonnes et les deux voyelles de la gamme anglo-saxonne, renquillée leur timeline défilante, cette timeline cachée parmi les fêlures du béton ; et répudiée l’extrémité du câble nord qui lui fournit son électricité. Reniflée la photosynthèse de ses électrons qui reçoivent comme une décharge électrique une hallucinante quantité d’enveloppes pleines de photos en noir et blanc ; enveloppes où l’on cache aussi des sachets de séminales et revanchards, diffus et disjoints, ces hauts plateaux de l’Éthiopie qui se sauvent avant l’émeute, ah comme leurs descriptions, leurs évanescences sont tristes, goulues mais ils ne veulent pas en démordre !

Tout d’abord, pour anticiper une version davantage compatible avec leur Esprit, ils traînent encore dans la sciure, les marées basses sans pieuvre et une énième poussière narcotique ambitionne de les ramener à la vie. Ensuite, à la première occasion, ils incarnent pour l’amour de la vie le mauvais côté de l’existence…

Alors, venant des profondeurs des appareils Kodak, en affirmant que Là-Haut c’est Jaune, ils viennent se joindre à la prescience des maisons lourdes, hautes, kitsch et noires ; prescience qui découle de la distillation de leurs larmes et ces mêmes maisons, où l’on entasse dans des fûts et des tonneaux ces cadavres de chiens sahariens, ouvrent leurs fenêtres sur un Monde Silencieux !

Les tourments de la scie

De là où se trouve mon terrier, qui n’est précisément pas un simple trou destiné à me sauver, on peut voir des planètes énigmatiques comme Jupiter ou Saturne. Mais j’évite de les observer, et même de les regarder ; mes yeux ont mal car ils ont été privé de la violence tout aussi énigmatique de cette scie d’à peu près !

Cette scie d’à peu près, qui a sa propre vie végétative, dépravée, possédée dans mon terrier, où je stocke des tonnes de viandes, mais aujourd’hui je peux m’endormir paisiblement, sa violence est bel et bien partie à vau-l’eau sans rien dire ; peut-être est-elle allé se nicher dans le cerveau de ces gens qui hantent le métro ou bien on ne sent plus sa précipitation à vouloir faire du mal, certes mêlée de tendresse bestiale parfois, mais qui peine à se référer au système adverse, c’est-à-dire la Place Forte que j’occupe au fond de mon terrier…

Sans doute elle ne sait pas que sa colère participe à sa déconstruction, et c’est ce que je pense vraiment quand je me tiens au milieu des gouffres ou de ces dix galeries qui partent de la citadelle et que les astres laissent choir pour se rendre à l’évidence. J’ai conquis cette sorte de château fort comme on apprivoise la violence de cette scie déprimante… mais, malgré ce plan d’ensemble qui n’obéit qu’à ma seule logique, je n’arrive pas à m’y faire… et les souvenirs affluent, et cette vieille plaie cousue pour ne plus voir les choses moches et leur manque d’inspiration ne parvient pas à me rassurer. Comme ce silence quand je suis presque arrivé à éloigner tout souci de sécurité.

Ce même silence, qui en arpentant le fond de ma caboche, a dompté le spectacle de Jupiter et de Saturne. Ainsi meurt dans les gosiers chauds et sans âme de mes victimes (que j’ai pris soin de découper avec cette scie surnaturelle) l’impossibilité de me réveiller avec félicité.

Le psychédélisme des Mathématiques Avancées !

Soit A, un gros splif en écoutant Ali Farka Toure, Ry Cooder, pour ameuter les soleils dans un pays de cocagne, alors l’information est aussi claire qu’inattendue : dans le tiroir de la table basse, les coins et les recoins de nos hémisphères à la tombée de la nuit se réfèrent à B ; et si B est l’idée d’une auberge espagnole et si il démarre sur un nouveau sujet, après la bataille, alors, alors seulement C : le fortifiant, obtus et sombre rayon solaire pour déranger Neptune et le décrire par des stances ésotériques ; et D : le diadème que les malandrins défendent. Alors, alors seulement E : la liste des prénoms d’une population captive et la catapulte romaine qui attaque les colonies péninsulaires tandis que le monde s’écroule, douce chaleur !

Si F est une émergence de mouvements soudains et fringants qui échappent à la raison et G est une embuscade qui réjouit les mercenaires ; alors, alors seulement H est un cube de plastique où se recroqueville un cocon de verdure ou H est une butte moussue qu’on aperçoit par le hublot d’un navire échoué. Quand tout a échoué.

Et si I est une méduse hystérique et une becquée qui finit dans la gueule du lion, alors, alors seulement J succède à la nuit endommagée ; et J rythme aussi les playlists des périphériques qui sidèrent les silhouettes d’un autre pays. Et si K est une steppe ou un écrivain qui romance, et si L est la détente d’un ressort pendant que la jeep roule lors des nuits orageuses, alors, alors seulement M répand la terreur parmi les clowns grimpeurs. Un voyage d’outre-tombe dans les ronces.

Et si N reste dans les chaussons de Pierrot et si O représente la trêve des confiseurs, alors, alors seulement les mathématiques avancées sont clôturés. Et leur psychédélisme chante sa chance de les avoir évité…

Rolls-Royce et vide-ordures

Dans le quartier où l’on ne voyait que des Rolls-Royce, l’Esprit des comédiennes sadomasochistes avait dissipé les vieux malentendus. Les malentendus qui foisonnaient dans les romans des Rêveurs et qui avaient choisi comme domicile céleste une marmite pleine de rubis ou un simple asile d’aliénés. 

Sur leur trente-et-un, les Rolls-Royce avaient peur de ces grands brasiers qu’elles allumaient, sans doute, uniquement pour affirmer la place du feu. Ce feu, dans les ténèbres pour honorer tout ce temps perdu à rester sage et conformiste… et cette époque où elles étaient tellement belles, tellement jeunes, tellement folles au point de dénouer les cheveux de leurs victimes de ces rubans cousus avec du fil d’or !

Le Système Aristote ou les sept vies gâchées de la Joconde…

Le système Aristote, ça commençait par un tout autre système de fils électriques et organiques, c’était ça ou alors on ne pouvait que s’inspirer de son contrôle autoritaire ; son hyper-contrôle que les sept chemins baignés par une lumière tamisée avait grippé, ne connaissant pas son secret de bâtisseurs.
Alors qu’il ne s’agissait que d’une fausse piste, une fausse piste qui multipliait les vies gâchées, orphelines à la Joconde, en infectant avec son idée l’équipe des traqueurs d’Aristote… en conséquence on avait abandonné cette idée ruisselant alphabétiquement, et qui siphonnait leurs gueules de vide-ordure ; je me souviens, j’avais vu leurs parfums entièrement indépendants de la volonté humaine monter au ciel comme des serpents cosmiques en claquant la porte ou en remplaçant la face B de Pat Benatar.

Après s’être chauffées au contact du plafond qui refusait de fléchir, et des astres au manteau noir, les résonances, les résonances de ces grands cerveaux électroniques que l’humanité aura jamais créé commençaient à se dégeler de cette ère glaciaire… et à grisailler autant que je les autogénérais ; et ainsi elles se rendirent à l’évidence : là où on ne pouvait établir nous-même une stratégie, elles contenaient dans leur Time Capsule l’espoir de fustiger un bon interlocuteur, une petite chance : celle de capituler et de crier grâce !