À la dérive mais toujours prêtes pour démarrer de nouvelles messes noires, des Iroquoises qui ironiquement ne peuvent se fier qu’à ce précis de littérature américaine aux origines douteuses…

Se décrivant comme leurs admirateurs les plus fascinés, des auteurs anglo-saxons qui s’enflamment pour leur crinière pourpre mais en rusant ils nous avertissent quand même que leur potentielle attaque est loin d’être une simple invocation ; l’invocation la plus redoutée de leurs étables, quant à elle, ne leur sera malgré tout jamais pleinement acquise.

Mais à grand galop sur les chevaux de l’apocalypse et montant comme des amazones, elles poursuivent ce que l’occident a toujours rêvé de réaliser afin de devenir enfin zen. Et tandis qu’elles pestent et grognent, ne voyant toujours pas arriver à l’horizon nos miradors, à minuit, l’orient se dérobe fébrilement à leur étreinte, et ainsi les notes et les dessins foisonnant sous le plancher des saloons, ne peuvent que pourrir parmi des cartons et des listes de fantasmes (des fantasmes inspirés de la tétée des yacks) et que les conquistadors ont laissé traîner, pêchant par excès de confiance…

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