« Des drogues pour te raconter mon rêve, des drogueries pour faire battre les ailes d’un couple de jars, des junkies pour que le ciel se violace d’une lueur crépusculaire, des ténèbres pour ne pas voir le résultat de leurs péchés. Des désirs ardents, brûlants pendant que les oeufs du monstre sommeillent dans nos sacs. Des gémissements de femmes en train de jouir pour attendre la funeste Éclosion qui donnera naissance à la morbide Saison Rouge. Des histoires sans début qui n’ont été créé que dans ce sens. »

Des films pornographiques pour méditer sur leur fin.
De la monnaie napoléonienne pour pas une pièce, pour pas un centime (peu importe si nous ne pouvons pas payer) et des scènes érotiques pour que la caméra puisse avoir cette noblesse d’esprit de se défenestrer. Alors en tournant comme des toupies, d’abord dans la direction du nord puis dans celle du sud, des lunes enfiévrées et la ferveur de tous les ébats amoureux !

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