Les raisonnements de ces singes au sein de ce Cercle littéraire étaient invariablement faux mais ils portaient en eux le secret espoir qu’un jour d’orage ils puissent saper les fondations spirituelles de leur grande prêtresse, fauchée à l’âge de vivre un siècle couronné de diadème, alors que nous lui assurions un revenu conséquent ; une rente provenant de l’exploitation des champs matriciels regorgeant de diamants… et sous l’immense portique de ces lieux enregistrés uniquement en Time Capsule, il y avait aussi, les candeurs latentes de ces singes qui firent trembler la nuit.

Et quand ils coupèrent enfin l’oxygène de leur prêtresse aujourd’hui disparue, des amalgames insensibles d’aigues-marines brûlantes les emmenèrent se promener ; se promener jusqu’à la chute du soleil qui suturait leur façon de penser !

À chaque fois que leur Cercle reliait au cosmos, aux entrailles des géants leur façon de penser, les enfants (qu’ils n’avaient jamais enfanté) se sentaient destinés à réaliser leur plus merveilleux rêve… et la porte du parc, où se tenait leur Cercle, s’ouvrait alors, pour faire parler les exactions ivres de ces chimpanzés : des marcheurs comme Skywalker, jadis réunis pour honorer la languissante mémoire de leur prêtresse.

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